Phosphènes
Regard clos sur une cécité visionnaire.
Obscurité parcellaire qui génère une géométrie erratique des formes sans définition.
Les surfaces surgissent, déjà présentes. Elles sont à saisir ou à laisser dans le gouffre sans plafond où fourmillent des ombres dans l’obscurité.
Elle fait tendre l’œil au discours muet qui déroule une lumière palpitante dont la persistance est nimbée des mutations ouvrant leurs bras nombreux vers d’autres occurrences.
Elle fait corps et fait tâche, mais force l’attention, produit des évènements innomés et inconsistants qui se suivent et se chevauchent à travers la trame.
La matrice sans matière enfante simultanément des perspectives à leur tour fertiles ou sans descendance, éclairs dont la rémanence est laissée au hasard ou à des déterminations imperceptibles.
Les pensées sont les phosphènes du présent précédent.
Obscurité parcellaire qui génère une géométrie erratique des formes sans définition.
Les surfaces surgissent, déjà présentes. Elles sont à saisir ou à laisser dans le gouffre sans plafond où fourmillent des ombres dans l’obscurité.
Elle fait tendre l’œil au discours muet qui déroule une lumière palpitante dont la persistance est nimbée des mutations ouvrant leurs bras nombreux vers d’autres occurrences.
Elle fait corps et fait tâche, mais force l’attention, produit des évènements innomés et inconsistants qui se suivent et se chevauchent à travers la trame.
La matrice sans matière enfante simultanément des perspectives à leur tour fertiles ou sans descendance, éclairs dont la rémanence est laissée au hasard ou à des déterminations imperceptibles.
Les pensées sont les phosphènes du présent précédent.
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