Corps

Mon corps perdu cherche la corde qui l’entrave et qui l’enserre sans son accord.

 

Chair corsetée, vie d’un corps mort appellent aux soins au son du cor.

 

Le diable au corps susurre encore, taquin qu’il est, au corps à corps.

 

La corpulence est un décor offert au fort.

 

Corps à toi-même étranger, tu corresponds au grotesque et au raccord.

 

Je t’écris et te trace tel que je t’incarne.