Il est possible que je croie savoir ou sentir,
sans prétention, ces deux mots se valent, 
que la banalité offre la béatitude.






L'anodin ne cache rien, il met à disposition l'insignifiance,
ces faits et choses qui constituent une trame non pas terne et opaque, 
mais qui scintille de nos propres regards.
Les alouettes sont prosaïques.
Le miroir les abuse, plat plutôt que profond. 
La réalité reste muette lorsque trop de ses propos m'épuisent, sinon elle ne cesse de dire l'indicible.